Anti-local
Bonjour,
Aujourd’hui, une série d’arguments contre le local… Quelques vérités et un peu de mauvaise foi : c’est à lire sur lapresse.ca.
Publié le juillet 6, 2012, dans Uncategorized, et tagué acheter, agriculture locale, arguments, bondir, chercher, contre, crise alimentaire, déplacements, famine, lapresse.ca, limiter, local, locavores, mauvaise foi, modèle économique, néfaste, nourriture, pavé dans la mare, production, ressources, surplus. Bookmarquez ce permalien. 2 Commentaires.
Concernant la partie gâchis et obligation de re-déplacement, pour appartenir à une AMAP, je sais de quoi il s’agit. Cependant, le gâchis est relativement évitable et l’échange de légumes entre AMAPiens est faisable. De plus, les AMAP cherchent souvent des solutions supplémentaires comme la possibilité de s’abonner à des arrivages de pain, de fromage, d’oeufs, de fruits…
Pour ce qui est du déplacement en grandes surfaces ou sur les marchés : il suffit de le faire occasionnellement. Un peu de débrouillardise, des préparations congelées, et puis l’achat de l’essentiel lorsque l’on va en courses… Forcément, cela demande un déplacement. Mais le CO2 émis par les poireaux n’est pas excessif, comparé à ce qu’il est lorsqu’on l’achète en grande surface hors saison !
Un autre témoignage intéressant : celui de l’ADEME sur ce sujet, à lire ici http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow?sort=-1&cid=96&m=3&catid=20205