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[#société] Consommer local : un vrai plus ?

Bonjour,

Je prône facilement les alternatives de « consom’action » locale à tous les niveaux : à la ferme, en AMAP (j’en ai fait partie pendant 3 ans), à La Ruche qui dit oui (c’est un bon système, même s’il a été mis en place par des finauds de la finance !), le troc, le don de vêtements ou le prêt de journaux, l’échange de compétences professionnelles, l’entraide intergénérationnelle…

Beaucoup d’initiatives pointent le bout de leur nez. Et www.actu-environnement.com fait le point sur le travail de Brigitte Allain, députée EELV, à propos de l’encouragement des circuits court locaux pour l’alimentation.

[#événement] Fête de la Pomme à Féricy

Bonjour,

Info intéressante pour un weekend en Seine-et-Marne : c’est la fête de la pomme à Féricy ce dimanche 26 octobre !

Consultez le dépliant pour en savoir plus

Bon weekend !

Point conso…

Bonjour,

Voici un article que je trouve très intéressant… C’est à lire sur www.consoglobe.com.

 

Des idées pour consommer au plus près

Bonjour,

Aujourd’hui, je vous fais part d’un témoignage…

Je suis adhérente d’une AMAP et ce système de soutien d’un agriculteur local me plaît beaucoup.

Voici en vrac quelques « contraintes » :

  • un panier imprévisible, même si l’association essaie depuis la rentrée de nous dire la veille pour le lendemain ce qu’il contient
  • le temps de préparation (forcément plus long que de prendre un sachet emballé)
  • tomber parfois sur des bébêtes comme on n’en voit pas dans les légumes de supermarchés !
  • une distribution hebdomadaire qui ne dure qu’une heure et demi
  • participer à plusieurs distributions dans l’année pour préparer les paniers : ça se passe toujours très bien
  • participer aux assemblées générales, mais cela fait partie du jeu associatif

Les avantages :

  • le retour à la terre quand on va aider l’exploitant
  • le plaisir d’éplucher (ou juste brosser) des légumes parfois disgracieux et aux tailles disparates mais de qualité et qui ont du goût
  • faire travailler une famille d’agriculteurs
  • éviter le gaspillage de l’eau lorsqu’on prépare ses légumes, la conserver pour arroser ses plantes
  • les contrats annexes : poulets / oeufs, miel, cidre / vinaigre / jus de pomme, fromages et yaourts / faisselles de brebis
  • les liens entre adhérents
  • trouver ou échanger de nouvelles recettes
  • l’aspect ludique pour les parents et les enfants d’être en contact avec des légumes parfois inconnus
  • se sentir utile en étant solidaire d’agriculteurs

Et à la rentrée, comme cela me trottait en tête depuis plusieurs mois, je viens d’intégrer une Ruche qui dit oui !

Je n’ai pas encore eu l’occasion d’assister à la première distribution, mais elle aura lieu dans quelques semaines, je tâcherai de vous donner mon ressenti. Evidemment, on retrouve quelques produits proposés dans les contrats annexes de l’AMAP, mais le choix de la commande est libre et se fait sur Internet.

Ce dispositif intelligent est beaucoup moins « contraignant » qu’une AMAP puisque c’est le consom’acteur qui choisi ce qu’il veut commander. Le producteur livre si le minimum de commandes fixé par ses soins est atteint. S’il ce minimum n’est pas atteint, le producteur peut faire le choix de livrer quand même. Autrement, la transaction est annulée. Les seuls intermédiaires rémunérés à minima (et à hauteur de 10%) : le responsable de la ruche et les créateurs du site Internet. Le reste de la somme revient au producteur.

Je trouve ces démarches intéressantes, saines et enrichissantes, aussi bien pour mon foyer qui profite plus ou moins largement de ces activités que j’entreprends, que pour moi-même. De plus, je trouve cela très important de soutenir des artisans du bon goût à un moment où le secteur agro-alimentaire sur-industrialisé connaît de nombreux déboires et le patrimoine biologique est menacé.

Bref… Malgré quelques points noirs, ça reste plus sympa de se tourner vers la nature que vers les supermarchés ! ;-)

Et vous, êtes-vous prêt(e) à prendre ce type de résolution pour la rentrée ou la saison prochaine ?

On s’appelle, on s’fait une bouffe ?

Bonjour,

La preuve en est : nous pouvons agir en tant que citoyen pour limiter le gaspillage alimentaire à notre échelle.

En Finlande, un test montre qu’il est possible de créer un garde-manger de quartier qui permet à toutes et à tous de « remettre en jeu » un produit alimentaire dont il ne veut finalement plus.

Un article fort intéressant et qui rejoint peu ou prou la logique des incroyables comestibles ou des AMAP.

Et vous, que faites-vous pour lutter contre cela ? Considérez-vous que vous gaspillez ? Que vous gâchez, littéralement de la nourriture ?

Dryade ou comment se procurer du bois local et respectueux ?

Bonjour,

Je vous invite à consulter le site de Dryade pour vous rendre compte à quel point les AMAP (Associations pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne) et leur modèle économique et solidaire peut favoriser la mise en place d’échanges locaux et intelligents sur d’autres produits que des fruits et légumes.

(Merci Steven)

Fin de la faim ?

Bonjour,

Un témoignage explicatif fort intéressant paru sur bioconsomacteurs.org de Jacques Caplat : auteur du livre L’agriculture biologique pour nourrir l’humanité et administrateur d’Agir Pour l’Environnement.

Quand l’ESS devient une nécessité

Bonjour,

Ce matin, je vous parle de la révolution des patates (non, je ne sors pas avec mes clones dans la rue ;)). Il s’agit d’un mouvement proche de celui des AMAPs (Associations pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne) lancé en Grèce car les agriculteurs étaient mécontents des prix au rabais pratiqués par les supermarchés. Ainsi, un réseau s’est mis en place et une distribution se fait en direct du producteur au consom’acteur. Le premier reçoit plus que s’il passait par un intermédiaire et le second paie moins cher qu’en grande surface.

L’article (et la vidéo) sont publiés sur observers.france24.com.

 

AMAP les Paniers de Vaux

Bonjour,

Vous pouvez dès à présent retrouver l’article que j’ai rédigé sur la visite de l’exploitation KOORIN sur notre-planete.info

Bonne lecture !

 

J-1 avant la quinzaine du commerce équitable

Bonjour,

Petit article sur la Quinzaine du Commerce Equitable paru sur le site evenement 3.0. Elle débute demain ! Découvrez de nouveaux produits, apprenez à déguster des saveurs venues d’ailleurs (République Dominicaine, Pérou, Inde, Sri Lanka, Madagascar…), à voyager par les sens, et parfois pas si loin que ça, avec le développement d’un commerce équitable Nord/Nord.

Les intérêts du commerce équitable :
– un travail rétribué à sa juste valeur pour des petits producteurs
– des avantages sociaux partagés par une communauté
– une interdiction du travail illégal des enfants
– des produits qualitatifs et différents
– une production souvent engagée dans la filière biologique

Les points qui posent question :
– les petits producteurs sont-ils aussi bien rémunérés que cela ? Peut-être pas dans 100% des cas, mais est-ce que cela ne fait pas sens d’aller dans cette direction pour favoriser des filière de production plus solidaires dans un cadre Nord/Sud ou Nord/Nord?
– des produits qui ont parcouru 3 fois le tour du monde, quel est l’intérêt de les consommer ? L’idée est de trouver des produits différents de ceux que nous consommons habituellement : thé, chocolat, café, céréales, vêtements en coton… Découvrir de nouvelles saveurs, de nouvelles façons de cuisiner ou de s’approvisionner, c’est aussi ça, le commerce équitable ! Le fait est que certaines régions finissent par souffrir du succès de certains produits. Je pense par exemple au quinoa.
Mais, ne nous voilons pas la face : dans tous les cas, les produits fabriqués avec un gros impact CO2, nous les consommons qu’ils soient équitables ou pas ! Telle est la société dans laquelle nous vivons !
– acheter des produits que l’on trouve chez nous sous forme de « commerce équitable » fait-il sens ? Pas moins que d’acheter quelque chose de transformé à l’autre bout du monde sans aucun respect ni de l’environnement, ni des populations ?

Le commerce équitable est une simple alternative à des procédés que nous connaissons déjà et qui sont ancrés dans nos cultures européennes… Le fait d’appartenir à une AMAP est un acte de commerce équitable avec un agriculteur en local, par exemple.
La balle est dans votre camp ;)

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