Archives du blog

[#DD] A vos sacs, prêts, partez !

Bonsoir,

On me dit dans l’oreillette qu’il vaut mieux faire des provisions de cabas réutilisables ou de se créer ses sacs de courses (DYI quand tu nous tiens !) car à partir du 1er janvier 2016, les sacs plastiques seront définitivement supprimés.

Apprenez-en plus sur www.service-public.fr

(merci Sylvie)

[#société] Marre du pessimisme ambiant ?

Bonjour,

Je viens seulement de prendre connaissance de l’événement « Osons la France » en écoutant RFI…

Moi, j’en ai marre qu’on me dise à chaque réunion professionnelle que c’est la crise, qu’on est dans la m**** et qu’on ne s’en sortira jamais car on n’a jamais connu ça et que donc tout le pays par à la dérive et que c’est la débandade ma pauv’ dame…

Je suis optimiste, au fait de nombreuses actus souvent relayées sur ce même blog, j’essaie de trouver des initiatives qui sont passionnantes. Il m’arrive aussi d’évoquer des choses plus graves et qui paraissent irrémédiables… Mais chacun à notre échelle, nous créons les petites gouttes d’un nouvel océan d’intelligence collective, de puissance et d’éco-efficacité ! Je crois en la France diverse, multiple, laïque et tolérante, je crois en moi, en vous, en nous… Bref, osons assumer que nous sommes dans un pays à fort potentiel plutôt que de nous lamenter sur un passé passé et dépassé. Trouvons des solutions : elles sont là sous notre nez. Levons les préjugés, ayons confiance en nous et avançons ensemble sur un mode coopératif, collaboratif et alternatif !

 

Kokopelli se rebelle… Et a raison !

Bonjour,

Je vous transmets quelques explications et points de vue de l’association Kokopelli à propos de la législation européenne sur les semences et le mal qu’elle engendre :

 

La législation européenne sur le commerce des semences :


une réforme écrite par et pour l’industrie semencière

Les variétés anciennes appartenant au domaine public toujours interdites de cité

La Commission Européenne (DG SANCO), le 6 mai dernier, a finalement fait connaître sa dernière proposition de réforme (la 4e version) de la législation sur le commerce des semences. C’est le Collège des Commissaires Européens qui a fini par trancher, dans un contexte difficile où la DG SANCO était soupçonnée de couvrir une situation de conflits d’intérêts (participation de l’ancienne Directrice des Relations Internationales du GNIS, Groupement d’intérêt de l’industrie semencière française, en tant qu’« expert national », à la rédaction de la proposition), et où les DG Agriculture et Environnement, directement concernées par les mesures proposées, s’opposaient à l’adoption du texte en l’état.

Le compromis trouvé n’a rien d’une simplification ou d’un progrès et la proposition législative aggrave le cadre normatif actuel. Il n’y a pas de refonte du système en profondeur : il s’agit du même cadre normatif actuel, assorti d’un chapelet de facilités offertes à l’industrie semencière, selon un modèle proposé par ses représentants.

Coche épaisse Pourquoi une aggravation du cadre normatif actuel ?

La définition de la « commercialisation » des semences s’élargit, pour inclure désormais les transferts de semences non destinées à une utilisation commerciale.

Or, actuellement, la définition de la commercialisation est la suivante :
« Commercialisation: on entend la vente, la détention en vue de la vente, l’offre de vente et toute cession, toute fourniture ou tout transfert, en vue d’une exploitation commerciale, de semences à des tiers, que ce soit contre rémunération ou non.
Ne relèvent pas de la commercialisation les échanges de semences qui ne visent pas une exploitation commerciale de la variété »
La référence à une « exploitation commerciale de la variété », dans la définition actuelle de la législation, permettait d’exclure de son champ d’application les échanges de semences entre jardiniers amateurs, mais aussi la vente de semences à des utilisateurs non professionnels, en général.

Cette exception, d’importance majeure, disparaît dans la proposition de la Commission.

Coche épaisse Des facilités nouvelles pour l’industrie semencière ?

  • Un subtil changement dans la définition de la « variété » et du critère de « distinction », pour faire maintenant référence au « génotype », et non plus seulement aux « taxons botaniques », va permettre à l’industrie semencière de créer des centaines de variétés « nouvelles » absolument identiques entre elles sur le plan botanique, mais « différentes » sur le plan génétique.
  • L’obtention de Droits de Propriété Intellectuelle (COV : Certificat d’Obtention Végétale) sur les variétés va donner un accès direct au Catalogue Officiel, ce qui va finir d’opérer la confusion totale entre régime de Droits de Propriété Intellectuelle et régulation du marché des semences.
  • L’industrie semencière aura la possibilité de réaliser les examens et tests officiels obligatoires elle-même (pour l’enregistrement des variétés au Catalogue et la certification des semences), sans avoir à passer par l’administration, au moyen d’une « habilitation officielle » préalable.

Coche épaisse Les variétés anciennes : toujours dans le collimateur du législateur

Deux pseudo brèches sont ouvertes dans le système :

  • « le matériel pour marchés de niche » (art. 36) : Il s’agit d’une minuscule niche pour la vente de petits sachets de semences (aujourd’hui non concernés par la législation). Aucun enregistrement obligatoire au Catalogue Officiel n’est prévu les concernant, mais cette niche est réservée aux MICRO entreprises (un maximum de 10 salariés et pas plus de 2 millions d’€ de chiffre d’affaires). Et pourquoi pas les PETITES entreprises, ou bien même les MOYENNES entreprises, s’il s’agit de petits sachets ??? Ces dispositions visent à évincer du marché tous les opérateurs qui, en Europe, diffusent une large collection de variétés anciennes, et, qui, par conséquent, ont besoin de plus de personnel. Ex : Kokopelli, association de plus de 20 salariés.
  • « les variétés avec description officiellement reconnue » (art. 57) : leur enregistrement sera obligatoire, mais sans application des critères DHS.

    Problème : les variétés doivent être reproduites dans leur « région d’origine » !!! Mais QUI a les moyens d’avoir des agriculteurs-mainteneurs dans toutes les régions d’origine d’une vaste collection ??? La « rose de Berne » à Berne, la « tomate Marmande » à Marmande, le haricot « tarbais » à Tarbes, la « cornue des Andes » dans les Andes ???

    Ce genre d’obligation, posée dans le but de conserver leurs caractéristiques d’origine aux variétés anciennes, doit être assumé par des conservatoires botaniques publics, pas par des petits opérateurs privés !!! Ces dispositions viseraient-elles en fait à évincer, ici encore, les acteurs dont la collection dépasse la dizaine de variétés ?

    Autre problème : il faut payer des frais d’inscription, alors que les variétés anciennes sont le patrimoine de tous et appartiennent au domaine public ! Voilà de quoi dissuader les opérateurs aux vastes collections.

Ce que nous demandons :

La législation européenne sur le commerce des semences s’applique, depuis 50 ans, à dérouler le tapis rouge aux variétés modernes protégées par des droits de propriété intellectuelle. Elle n’a jamais concerné nos variétés du domaine public. Et quand elle ne les a pas ignorées, elle les a rendues illégales.

Nous demandons donc que les variétés appartenant au domaine public sortent purement et simplement du champ d’application de cette législation. Pour la régulation de certains paramètres essentiels comme la faculté germinative ou la qualité sanitaire, les garanties applicables aux « semences standards » suffisent largement.

Subsidiairement, l’exception créée pour les « marchés de niche » doit être applicable également aux petites et moyennes entreprises, dès lors qu’il s’agit de petites quantités de semences, qui ne seront diffusées, vraisemblablement, qu’aux jardiniers amateurs.

 

Pour en savoir plus sur l’association, commander des graines, un seul site, celui de l’association Kokopelli

Vers un reporting RSE pour tous ?

Bonjour,

Aujourd’hui, une news parue dans www.seine-et-marne-invest.com et qui met en avant les observations du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) concernant les rapports de Responsabilité Sociale/Sociétale des Entreprises.

Les entreprises cotées en bourse sont déjà soumises à certaines obligations… Mais pourquoi pas créer une perspective d’amélioration à une échelle plus petite, touchant les TPE et PME qui maillent le tissu économique national et créent la richesse, avec des valeurs fortes souvent basées sur l’humain et le savoir-faire.

Une agence de com… mais : qu’est-ce que c’est ?

Bonjour,

Afin d’y voir plus clair sur les rôles multiples que peut remplir une agence de communication, je vous invite à lire le dossier paru sur www.communicationetentreprise.com

D’autres questions ? Contactez-moi :-)

Génial !

Bonjour,

Une vidéo aujourd’hui : www.youtube.com

Je l’ai aperçue sur Facebook, merci au contact qui a diffusé l’info et super bravo au créateur !

Alimentaire !

Bonjour,

Deux informations liées à des innovations qui feront plaisir à nos palais :

– Le steak d’herbe dévoilé par Courrier International

– La peau de yaourt d’Anne-Sophie Novel, en direct de son blog Le Monde.

Talents des Cités

Bonjour,

Je tiens à soutenir ce projet intéressant et déjà bien abouti qu’est « Talents des Cités« . Tout le monde est capable d’innover, de créer, d’inventer… :)

Ecotech City : le salon et ses conférences…

Bonjour à toutes et à tous,

Ce lundi, je vous propose de regarder de plus près le cycle de conférences proposées sur le salon Ecotech City, en cliquant ici. Ce salon a pour but de mettre en avant les acteurs de la ville durable proposant des solutions innovantes et exclusivement B2B.

Ecotech City aura lieu du 3 au 5 Avril prochain à Paris Porte de Versailles, avec Innovative Building !

Pour exposer* et intervenir auprès d’un public de professionnels ciblé, n’hésitez pas à me contacter : orvain.emmanuelle|@|etmacom.fr

Au plaisir.

* : une offre Pavillon vous offre une visibilité à moindre coût !

Constat

Comment voulez-vous aller mieux ?

Par pure curiosité, j’ai recensé les fois où la négation ou des expressions pessimistes étaient utilisées en écoutant les informations à la radio. Leur nombre était faramineux ! La plupart des mots prononcés allaient dans un sens malheureux pour un laps de temps relativement court.

Ma déduction est qu’un peuple « harcelé » à longueur de temps par une presse qui enfonce le clou des mauvaises nouvelles sous prétexte d’informer est obligatoirement triste et démoralisé !

Où sont les info optimistes ? Celles qui donnent l’espoir ? Se renseigner sur l’état du Monde, de la Terre, de l’Univers, c’est bien, c’est important. Se renseigner pour déduire des choses, se faire une opinion sur un sujet, c’est important. Se renseigner pour garder le moral (période de crise ou pas), c’est TRES important ! Et pourtant, peu de personnes s’en font l’écho, de ces bonnes nouvelles. C’est dommage, car beaucoup d’initiatives font bouger les choses ici comme ailleurs !

Avec des sources d’informations toujours plus dans l’amalgame et le scoop, dans la négation et la tristesse, l’immédiateté et la rapidité, le pathos et le pessimisme, comment voulez-vous aller de l’avant ? Innover ? Créer ? Espérer ? Aspirer à mieux ? S’épanouir ? Etre heureux ? Voir l’avenir comme une alternative positive plutôt que de le subir comme une contrainte ?

Bon weekend à vous.

A la semaine prochaine pour de nouvelles brèves !

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