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Pourquoi le client est roi ? Et l’agence son ombre ?

Le (futur) client est roi pour plusieurs bonnes raisons :

il a un projet. Même à un stade embryonnaire, ce dernier mérite tout l’attention de l’agence, qui pratique une écoute active à ce stade de connaissances des ambitions du prospect.

– pour réaliser son projet, le futur client sait souvent ce qu’il veut ou du moins, en a une vague idée. Si ce n’est pas le cas, il confiera ses désirs à l’agence. C’est à ce moment-là que l’agence passe de l’écoute active au questionnement pour formaliser le besoin (c’est-à-dire l’expression d’une nécessité ressentie) et les attentes (le résultat escompté et le cheminement, les exigences qui vont avec) de son interlocuteur. Cette vague d’interrogations gravitant autour du projet « rêvé » permet au client de prendre conscience de sa demande, et à l’agence de lui apporter le fameux recul dont on a tous besoin lorsque l’on est pris « la tête dans le guidon ». Ces deux notions de besoin et d’attentes sont fondamentales et mènent l’agence vers une première étape de réflexion – pas trop aboutie – avec le (futur) client. Cette phase de pré-accompagnement (qui génère le brief complet) permet d’établir la confiance entre les deux partenaires.

il a (ou n’a pas) le budget pour s’offrir les services de l’agence. La formulation d’une estimation chiffrée aide le client à assumer son choix. C’est très binaire : il peut ou ne peut pas. Mais l’agence peut aussi être force de propositions pour trouver un arrangement : un étalement des paiements dans le temps, un geste commercial, ou encore conseiller stratégiquement en amont un décalage du projet pour lui garantir un meilleur impact (saisonnalité,…). Cet échange qu’il faut considérer comme « gagnant-gagnant » (je te fais travailler, tu me concèdes une offre mieux adaptée à ma demande) facilite la confiance réciproque ainsi que la fidélisation, voire la recommandation.

– et nous arrivons au quatrième et dernier point : votre (futur) client ne vous le dit pas forcément, mais il vous fait confiance, apprécie l’entente cordiale que vous développez ensemble dans un esprit de partenariat, ainsi que l’accompagnement opérationnel sérieux que vous lui garantissez au fil du temps, dans un objectif de partage et de performance.

Ce survol très bref de la relation prospect > futur client > client fidèle > client prescripteur montre que l’agence est l’ombre de son client par son écoute active, sa flexibilité, sa capacité à trouver des compromis, à ajuster divers facteurs – qui n’ont pas tous le même degré d’importance en fonction de l’interlocuteur ! -, ses conseils en amont du projet et le nouvel angle de vue avec lequel elle aborde ledit projet…

Les bons côtés de la crise ?

Bonjour,

Aujourd’hui, parlons du principe des vases communicants avec un article paru sur www.leparisien.fr.

Les Européens consomment moins et mieux : c’est bien. Merci la crise.

Les pays en développement, eux, consomment comme les Européens avant la crise : c’est moins bien !

Est-ce qu’il est possible de trouver un équilibre au niveau planétaire ?

Les spécialistes (économistes, climatologues…) trouvent qu’il est déjà trop tard pour prendre en compte tous les paramètres qu’ils affichent comme alarmants depuis plusieurs décennies à présent. Alors, comment faire ?

D’après moi, l’une des solutions les plus viables et des penser global en agissant local. Et vous, où en êtes-vous dans cette démarche ?
Est-ce à votre avis une question fondée ou un mythe qui n’a pas lieu d’être ? Est-ce que les changements que l’on voit s’accumuler petit à petit (mal être social, températures « déréglées », moral en berne…) ne sont pas un nouveau début ? Une (r)évolution ? Sera-t-elle douce ou violente ? Engendra-t-elle toujours autant d’inégalités ou sera-t-elle placée sous le signe d’une paix universelle et solide ?

Au plaisir de vous lire à ce sujet !

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