Archives du blog

[#DD] [#ESS] monECOCITY change de visage

Bonjour,

Aujourd’hui, je vous invite à aller visiter, et à vous inscrire sur le site www.monecocity.fr.

Soyez les premiers à devenir acteurs de l’ESS sur cette plateforme multifonction en y déposant annonces, bons plans,… ! Et téléchargez le guide pratique Vivre mieux ensemble en dépensant moins : très utile au quotidien.

Vous êtes une association ? Inscrivez-vous et faites-vous connaître grâce à l’annuaire. Vous souhaitez développer le thème de l’économie locale du partage ? Vous souhaitez faire valoir vos connaissances sur votre territoire ? Devenez pilote de cette franchise sociale collaborative, et comme Gaëlle à Nantes, fédérez une communauté d’acteurs de proximité impliqués !

 

[#auboulot] Vous n’êtes pas vos concurrents !

Bonsoir,

En ce lundi, un article qui donne un peu d’espoir : vous n’êtes pas vos concurrents… Non ! Par contre, vous pouvez les observer pour mieux vous en différencier. Votre valeur ajoutée : c’est vous (grosso modo ;)).

Pour en apprendre plus, je vous recommande la lecture d’un article paru sur le site www.squid-impact.fr

[#économie] TTF soldée ?

Bonjour,

Je vous invite aujourd’hui à lire l’article de www.lesechos.fr à propos de la taxe sur les transactions financières revue à la baisse par le Gouvernement… Dommage ? Oui, et certainement dommageable.

Moi, j’ai déjà entendu parler d’une taxe intelligente : la taxe Tobin, mais ça… C’est pour plus tard, certainement.

Amis spéculateurs, à votre bon coeur !

[#communication] Les interactions sur les réseaux : entre échauffement et silence pesant

Bonjour,

Je relaie aujourd’hui un article de www.leblogducommunicant2-0.com lu il y a quelques jours au sujet des nouveaux espaces d’échanges que nous proposent les réseaux sociaux (au même titre que les forums, les commentaires d’utilisateurs ou de lecteurs…).

[#développementdurable] Programme éco-école : si on en parlait

Bonjour,

J’ignorais l’existence d’un programme « éco-école ». Très lié aux enjeux du développement durable (diminution du gaspillage alimentaire, amélioration énergétique des bâtiments…), ce programme enthousiasme déjà un certain nombre d’établissements dans le pays.

A suivre sur www.environnement-magazine.fr

 

RSE, et si pour en parler, vous faisiez appel &maCom ?

Bonsoir,

Aujourd’hui, je reprends une actu très intéressante tirée de la newsletter dynamique et dynamisante de COMEEN à propos de la communication autour de la RSE… Les boîtes françaises seraient à la traine selon le classement du Social Media Sustainability Index.

Votre entreprise a suivi les conseils d’un cabinet ? Vos salariés se sont mobilisés pour mettre en place des actions ? Vous souhaitez diffuser votre énergie positive à vos parties prenantes mais ne savez pas « par quel bout commencer » ?

Faites appel à &maCom ! L’agence propose, dans le cadre d’un suivi des actions RSE, une offre d’accompagnement pour ne pas tomber dans le greenwashing ni dans l’oubli.

Au plaisir d’en discuter avec vous ! :-)

 

 

APP tourne la page des mauvaises pratiques

Bonjour,

Voici un article de www.novethic.fr rapportant l’entente cordiale entre Asian Pulp & Paper et Greenpeace.

On peut saluer la force de l’ONG et le fait que les grands distributeurs aient suivi ses préconisations.

Cette nouvelle est très encourageante pour les futures décisions de l’ensemble de l’industrie papetière !

La RSE en Afrique

Bonjour,

Je reçois fréquemment la newsletter de l’institut Afrique RSE que je vous conseille de lire : les Européens ne sont pas les seuls à vouloir aller vers un autre mode de gouvernance…

Bonne lecture.

 

ESSEC, Douala : Kilimandjaro University RSE. A nos méninges !


C’est sur le campus de l’Université de Douala au Cameroun que l’Ecole Supérieure des Sciences Economiques et Commerciales (E.S.S.E.C.) et l’Institut Afrique RSE organisent du 16 au 20 septembre la première session du Kilimandjaro University RSE : Université Africaine de la Responsabilité Sociétale des Entreprises et de l’économie durable.

L’objectif de cette formation certifiante est de permettre aux cadres et dirigeants des administrations, entreprises, collectivités territoriales ainsi que les responsables des syndicats, ONG et associations de disposer des outils et de la méthodologie pour concevoir, mettre en œuvre, évaluer et assurer le suivi des projets de RSE.

Saisissons l’opportunité du Kilimandjaro University pour apporter un regard sur la RSE avec les lunettes africaines à partir des questions centrales de la norme ISO 26000 qui serviront d’ailleurs de boussoles pour voir clair sur la Responsabilité Sociétale dans les pays africains.

L’enjeu principal pour les organisations africaines est celui de la gouvernance.

Le malgache José Rakotomanjaka a mis les bonnes lunettes pour apporter un éclairage pertinent sur cette problématique. Il décrypte à juste titre « qu’en premier lieu les modèles de gouvernance laissent encore une place importante aux lois locales et à l’appartenance communautaire. Les places boursières sont encore peu nombreuses et le volume des transactions anonymes est faible. Les organisations appartiennent alors à une famille ou un groupe de familles.

 

La redevabilité à l’égard des mandants se limite ainsi à rendre compte à un patriarche, chef de famille plutôt qu’à des membres diversifiés d’une assemblée générale, même si le statut de l’entreprise est de type « de capitaux » mais pas affectio societatis.

 

Les rapports seront alors déterminés par des relations affectives plutôt que par des relations objectives de mandants à mandataires. Même les relations avec les autorités sont influencées par les relations familiales et communautaires qui peuvent biaiser la redevabilité vis-à-vis de l’État.

 

En second lieu, pour la transparence, les organisations agissant en Afrique ont tendance à garder secrètes les informations. La principale raison évoquée est l’inefficacité d’un système judiciaire toujours indépendant en cas de violation de ses droits. Les abus de rétention d’information sont souvent constatés, mais en contrepartie la transparence expose à des harcèlements injustifiés. »

Prenons une deuxième question centrale afin d’y porter un regard africain. Les bonnes pratiques des affaires par exemple. D’après l’ISO, elles concernent la conduite éthique des transactions entre une organisation et d’autres organisations et des personnes. Elles englobent les relations entre les organisations et des organismes publics ainsi qu’entre les organisations et leurs partenaires, fournisseurs, sous-traitants, concurrents et les associations dont elles sont membres.

La lecture des actions et attentes proposées par l’ISO sur les cinq domaines d’actions (lutte contre la corruption, engagement politique responsable, concurrence loyale, promotion de la responsabilité sociétale dans la chaîne de valeur et le respect des droits de propriété) présentent l’avantage de donner les lignes directives générales pour la conduite d’une démarche RSE au regard de cette question centrale.

Mais en mettant les lunettes africaines, un des enjeux majeurs des bonnes pratiques des affaires sur le continent et qui n’apparaît pour l’instant sur aucun radar RSE des organisations internationales est le délai de paiement.

Concrètement, les grandes entreprises et les multinationales profitent de leur position de donneurs d’ordre et de domination économique pour assurer leur financement sur le dos des PME en allongeant indéfiniment les délais de paiement.

Lors de l’une de nos interventions le mois dernier en Afrique, un cadre d’une filiale de multinationale a indiqué que des factures de fournisseurs pour l’année … 2012 n’étaient pas encore réglées. Combien de grands groupes africains et de sociétés transnationales sont concernés par de telles pratiques ?

Avec ces délais de paiement excessivement longs, pratique répandue en Afrique y compris chez les donneurs d’ordre publics, nombreux sont les prestataires qui finissent par déposer le bilan et mettre la clé sous le paillasson. Plus frustrant encore est le manque de possibilité de recours pour ces fournisseurs et sous-traitants.

Les multinationales et grandes entreprises pourront toujours valoriser leur supposée citoyenneté et ancrage territorial grâce à la création d’emplois directs ou indirects mais combien d’emplois le territoire va-t-il perdre à cause de la disparition précoce des TPE et PME aux carnets de commande remplis mais qui après avoir réalisées des prestations attendent des paiements qui arriveront trop tard ?

A l’heure où le local content monte en puissance en Afrique et se positionne comme une question centrale de la RSE, le challenge sera d’avoir une approche holistique et transversale pour faire de la RSE, un outil de transformation structurelle de l’Afrique.

La réflexion devra portée sur l’ensemble des questions centrales proposées par les organisations internationales qui seront probablement enrichies par d’autres spécifiques au contexte africain selon nos cultures et valeurs.

Le challenge est d’autant plus important qu’il faudra gérer le long terme à très court terme sur un continent au cœur de toutes les convoitises mais confronté à une explosion urbaine, démographique et des inégalités pour une population en quête d’équité, de justice sociale et de partage de la valeur.

Il y a donc une urgence pour l’émergence d’un réseau de cadres et dirigeants africains visionnaires capables d’impulser ce mouvement vers une économie durable.

Tel est l’objectif du Kilimandjaro University.

Pour un passage efficace à l’action osons la réflexion audacieuse sans crainte des expérimentations indispensables pour le passage du message.

L’Afrique est très riche en matières premières mais la matière première c’est désormais la substance grise. En matière de RSE, l’Afrique n’est pas dernière mais peut devenir première.

A nos méninges !

Thierry Téné, Directeur de l’Institut Afrique RSE

Le questionnaire RSE questionné par l’ORSE

Bonjour,

Je vous invite à lire l’article paru sur lentreprise.lexpress.fr pour vous faire un avis quant à la qualité et la fiabilité du « questionnaire RSE ».

Interrogez-vous vos partenaires (fournisseurs, salariés, clients, riverains, élus…) ? Songez-vous à mettre en place une politique d’ouverture permettant transparence et transversalité des échanges ?

Les villes en 2050

Bonjour,

La problématique de la ville en 2050 est soulevée par TerraEco et reprise par Ekopolis.

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