Archives du blog

Se salir les doigts est-ce se salir les mains ?

Bonjour,

Si comme moi vous vous posez des questions sur notre avenir énergétique, voici un éclairage très pertinent sur le projet Castor en Europe…

Conscience citoyenne ou appât du gain ? La réponse sur www.bastamag.net !

La Portugal lutte contre l’économie parallèle… en offrant des cadeaux

Bonjour,

La démarche portugaise est assez originale, mais déjà connue en Slovaquie, ainsi qu’au Brésil ou encore en Chine : créer une tombola pour lutter contre la fraude et l’évasion fiscale.

Ainsi, chaque semaine, un tirage au sort aura lieu et en contre-partie de factures demandées aux commerçants chez qui le contribuable aura acheté un bien, il recevra un produit d’équipement ou de consommation.

Est-ce que cela ne va pas inciter les gens à consommer plus ? Est-ce logique d’offrir une voiture luxueuse si le contribuable n’a pas de quoi payer le carburant, l’assurance, les péages ?… De nombreuses questions gravitent encore autour de ce loto national.

Pêche en eaux profondes… La réponse ne laisse aucun espoir

Re-bonjour,

Voici une réponse on ne peut plus ferme… et définitive.

C’est à lire sur www.hydroplus.info

A nous de changer le monde ?

Les vignerons interdits de faire de la bio

Bonjour,

Voici un exemple assez farfelu de ce qui se passe quand les lobbies et la politique pataugent, ne laissant plus aucune marge de manoeuvre à des spécialistes de la vigne : les vignerons.

Au lieu de prévenir, traitons systématiquement pour tuer tout ce qui bouge. Et si le vigneron bouge pour ne pas traiter, il est accusé devant la justice.

Risquer des amendes ou de la prison pour éviter de polluer… Un vrai scandale, relaté sur www.bastamag.net.

Je pense qu’il existe 2 questions à se poser :

– Qui pense aux générations futures à travers de beaux discours ?

– Qui agit pour les générations futures ?

Kokopelli se rebelle… Et a raison !

Bonjour,

Je vous transmets quelques explications et points de vue de l’association Kokopelli à propos de la législation européenne sur les semences et le mal qu’elle engendre :

 

La législation européenne sur le commerce des semences :


une réforme écrite par et pour l’industrie semencière

Les variétés anciennes appartenant au domaine public toujours interdites de cité

La Commission Européenne (DG SANCO), le 6 mai dernier, a finalement fait connaître sa dernière proposition de réforme (la 4e version) de la législation sur le commerce des semences. C’est le Collège des Commissaires Européens qui a fini par trancher, dans un contexte difficile où la DG SANCO était soupçonnée de couvrir une situation de conflits d’intérêts (participation de l’ancienne Directrice des Relations Internationales du GNIS, Groupement d’intérêt de l’industrie semencière française, en tant qu’« expert national », à la rédaction de la proposition), et où les DG Agriculture et Environnement, directement concernées par les mesures proposées, s’opposaient à l’adoption du texte en l’état.

Le compromis trouvé n’a rien d’une simplification ou d’un progrès et la proposition législative aggrave le cadre normatif actuel. Il n’y a pas de refonte du système en profondeur : il s’agit du même cadre normatif actuel, assorti d’un chapelet de facilités offertes à l’industrie semencière, selon un modèle proposé par ses représentants.

Coche épaisse Pourquoi une aggravation du cadre normatif actuel ?

La définition de la « commercialisation » des semences s’élargit, pour inclure désormais les transferts de semences non destinées à une utilisation commerciale.

Or, actuellement, la définition de la commercialisation est la suivante :
« Commercialisation: on entend la vente, la détention en vue de la vente, l’offre de vente et toute cession, toute fourniture ou tout transfert, en vue d’une exploitation commerciale, de semences à des tiers, que ce soit contre rémunération ou non.
Ne relèvent pas de la commercialisation les échanges de semences qui ne visent pas une exploitation commerciale de la variété »
La référence à une « exploitation commerciale de la variété », dans la définition actuelle de la législation, permettait d’exclure de son champ d’application les échanges de semences entre jardiniers amateurs, mais aussi la vente de semences à des utilisateurs non professionnels, en général.

Cette exception, d’importance majeure, disparaît dans la proposition de la Commission.

Coche épaisse Des facilités nouvelles pour l’industrie semencière ?

  • Un subtil changement dans la définition de la « variété » et du critère de « distinction », pour faire maintenant référence au « génotype », et non plus seulement aux « taxons botaniques », va permettre à l’industrie semencière de créer des centaines de variétés « nouvelles » absolument identiques entre elles sur le plan botanique, mais « différentes » sur le plan génétique.
  • L’obtention de Droits de Propriété Intellectuelle (COV : Certificat d’Obtention Végétale) sur les variétés va donner un accès direct au Catalogue Officiel, ce qui va finir d’opérer la confusion totale entre régime de Droits de Propriété Intellectuelle et régulation du marché des semences.
  • L’industrie semencière aura la possibilité de réaliser les examens et tests officiels obligatoires elle-même (pour l’enregistrement des variétés au Catalogue et la certification des semences), sans avoir à passer par l’administration, au moyen d’une « habilitation officielle » préalable.

Coche épaisse Les variétés anciennes : toujours dans le collimateur du législateur

Deux pseudo brèches sont ouvertes dans le système :

  • « le matériel pour marchés de niche » (art. 36) : Il s’agit d’une minuscule niche pour la vente de petits sachets de semences (aujourd’hui non concernés par la législation). Aucun enregistrement obligatoire au Catalogue Officiel n’est prévu les concernant, mais cette niche est réservée aux MICRO entreprises (un maximum de 10 salariés et pas plus de 2 millions d’€ de chiffre d’affaires). Et pourquoi pas les PETITES entreprises, ou bien même les MOYENNES entreprises, s’il s’agit de petits sachets ??? Ces dispositions visent à évincer du marché tous les opérateurs qui, en Europe, diffusent une large collection de variétés anciennes, et, qui, par conséquent, ont besoin de plus de personnel. Ex : Kokopelli, association de plus de 20 salariés.
  • « les variétés avec description officiellement reconnue » (art. 57) : leur enregistrement sera obligatoire, mais sans application des critères DHS.

    Problème : les variétés doivent être reproduites dans leur « région d’origine » !!! Mais QUI a les moyens d’avoir des agriculteurs-mainteneurs dans toutes les régions d’origine d’une vaste collection ??? La « rose de Berne » à Berne, la « tomate Marmande » à Marmande, le haricot « tarbais » à Tarbes, la « cornue des Andes » dans les Andes ???

    Ce genre d’obligation, posée dans le but de conserver leurs caractéristiques d’origine aux variétés anciennes, doit être assumé par des conservatoires botaniques publics, pas par des petits opérateurs privés !!! Ces dispositions viseraient-elles en fait à évincer, ici encore, les acteurs dont la collection dépasse la dizaine de variétés ?

    Autre problème : il faut payer des frais d’inscription, alors que les variétés anciennes sont le patrimoine de tous et appartiennent au domaine public ! Voilà de quoi dissuader les opérateurs aux vastes collections.

Ce que nous demandons :

La législation européenne sur le commerce des semences s’applique, depuis 50 ans, à dérouler le tapis rouge aux variétés modernes protégées par des droits de propriété intellectuelle. Elle n’a jamais concerné nos variétés du domaine public. Et quand elle ne les a pas ignorées, elle les a rendues illégales.

Nous demandons donc que les variétés appartenant au domaine public sortent purement et simplement du champ d’application de cette législation. Pour la régulation de certains paramètres essentiels comme la faculté germinative ou la qualité sanitaire, les garanties applicables aux « semences standards » suffisent largement.

Subsidiairement, l’exception créée pour les « marchés de niche » doit être applicable également aux petites et moyennes entreprises, dès lors qu’il s’agit de petites quantités de semences, qui ne seront diffusées, vraisemblablement, qu’aux jardiniers amateurs.

 

Pour en savoir plus sur l’association, commander des graines, un seul site, celui de l’association Kokopelli

A quand de telles mesures en France ?

Bonjour,

Ca bouge en Amérique Latine ! Après une rébellion du Brésil contre Monsanto dont je parlais dans l’un de mes récents posts, voici que le Pérou promulgue des lois pour contrer l’invasion des fast-foods et de la malbouffe, privilégiant ainsi une alimentation plus saine. A retrouver sur le site www.huffingtonpost.fr

Et chez nous, ça donnerait quoi, une telle loi ?

Si j’en crois mes proches, c’est totalement impensable ! Et pourtant, ne serait-ce pas nécessaire ? Préférons-nous nous gaver maintenant et avoir à traiter à coûts de milliards d’euros les dépenses de santé à venir pour les cas d’obésité, de problèmes cardiovasculaires…? A ce propos, j’avais lu en début d’année que la restauration rapide était en train de surpasser la restauration gastronomique en termes de fréquentation… Certes, les prix comptent aussi. Mais quid du goût dans un pays comme la France, réputé pour sa cuisine et ses mets régionaux ?!

Entre parenthèses, est-ce que la simple phrase bien connue « manger-bouger » suffit à raisonner les gourmands ?

(Merci Steven)

A ne plus vouloir être éthiques, on finira par devenir étiques !

Malheur de malheur…

Qu’apprend-on sur le blog de resiliencequebec.wordpress.com ?!

Les abeilles reines sont tuées par Monsanto…

Comment est-ce possible qu’il soit si simple de modifier le vivant, de l’anéantir ?

Comment lutter contre ce capitalisme à tout va qui ne permettra plus de nourrir personne sur cette bonne vieille Terre d’ici quelques années, à la fois car nous serons très nombreux à la peupler, et trop peu nombreux à savoir la cultiver pour de vrai…

Autant de questions qui restent de réelles inquiétudes et laissent entrevoir un avenir de mutations malsaines et technologiquement coûteuses…

Amateurs ou professionnels, PLANTONS, ECHANGEONS, CULTIVONS ensemble pour favoriser la NATURE !

 

 

Noteo note la conso

Bonjour,

Ce matin, un article qui intéresse le consom’acteur qui sommeille en chacun nous…

Comment consommer mieux sans dépenser plus ?!

Noteo est un outil pratique pour éviter les pièges des GMS (Grandes et Moyennes Surfaces) ;)

Plus d’information sur 20minutes.fr

(Merci Thierry)

 

 

Biogaz, vous avez dit biogaz ?

Bonjour,

Aujourd’hui, un article paru sur 20minutes.fr a attiré mon attention.

Il s’agit d’un sursaut de la filière biogaz en Lorraine. Prêts à rouler grâce à vos déchets ?

Brésil…

Bonjour,

Il y a déjà quelques temps que je souhaite publier les articles suivants parus sur Greenetvert sur le Brésil et son positionnement par rapport aux sacs en plastique et sur des recherches menées afin de mettre en oeuvre d’anciennes bouteilles en PET dans de la peinture

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