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[#développementdurable] Le tourisme responsable

Bonjour,

Aujourd’hui, un bel article de www.e-rse.net à propos de Hopineo, plateforme pédagogique du tourisme responsable.

Voyageurs avisés, partagez les bonnes pratiques dont vous avez fait l’expérience à l’étranger !

Acteurs du tourisme, chinez les démarches applicables dans votre secteur !

Pourquoi le client est roi ? Et l’agence son ombre ?

Le (futur) client est roi pour plusieurs bonnes raisons :

il a un projet. Même à un stade embryonnaire, ce dernier mérite tout l’attention de l’agence, qui pratique une écoute active à ce stade de connaissances des ambitions du prospect.

– pour réaliser son projet, le futur client sait souvent ce qu’il veut ou du moins, en a une vague idée. Si ce n’est pas le cas, il confiera ses désirs à l’agence. C’est à ce moment-là que l’agence passe de l’écoute active au questionnement pour formaliser le besoin (c’est-à-dire l’expression d’une nécessité ressentie) et les attentes (le résultat escompté et le cheminement, les exigences qui vont avec) de son interlocuteur. Cette vague d’interrogations gravitant autour du projet « rêvé » permet au client de prendre conscience de sa demande, et à l’agence de lui apporter le fameux recul dont on a tous besoin lorsque l’on est pris « la tête dans le guidon ». Ces deux notions de besoin et d’attentes sont fondamentales et mènent l’agence vers une première étape de réflexion – pas trop aboutie – avec le (futur) client. Cette phase de pré-accompagnement (qui génère le brief complet) permet d’établir la confiance entre les deux partenaires.

il a (ou n’a pas) le budget pour s’offrir les services de l’agence. La formulation d’une estimation chiffrée aide le client à assumer son choix. C’est très binaire : il peut ou ne peut pas. Mais l’agence peut aussi être force de propositions pour trouver un arrangement : un étalement des paiements dans le temps, un geste commercial, ou encore conseiller stratégiquement en amont un décalage du projet pour lui garantir un meilleur impact (saisonnalité,…). Cet échange qu’il faut considérer comme « gagnant-gagnant » (je te fais travailler, tu me concèdes une offre mieux adaptée à ma demande) facilite la confiance réciproque ainsi que la fidélisation, voire la recommandation.

– et nous arrivons au quatrième et dernier point : votre (futur) client ne vous le dit pas forcément, mais il vous fait confiance, apprécie l’entente cordiale que vous développez ensemble dans un esprit de partenariat, ainsi que l’accompagnement opérationnel sérieux que vous lui garantissez au fil du temps, dans un objectif de partage et de performance.

Ce survol très bref de la relation prospect > futur client > client fidèle > client prescripteur montre que l’agence est l’ombre de son client par son écoute active, sa flexibilité, sa capacité à trouver des compromis, à ajuster divers facteurs – qui n’ont pas tous le même degré d’importance en fonction de l’interlocuteur ! -, ses conseils en amont du projet et le nouvel angle de vue avec lequel elle aborde ledit projet…

Carbon Omissions !

Bonjour,

Aujourd’hui, une vidéo en anglais et un article explicatif en français dont j’ai eu connaissance grâce à la newsletter du site www.lemarchecitoyen.net

De quoi s’agit-il ?

Arrêter de se voiler la face quant à notre consommation…

Nos amis anglais prennent-ils conscience de leurs torts et des leviers à mettre en place rapidement pour palier les décisions « court-termistes » du passé ?

Bon visionnage et bonne lecture !

Reine rouge

Bonjour,

Aujourd’hui, un article paru sur http://tomroud.cafe-sciences.org mettant en avant le progrès technologique comme facteur principal d’obsolescence des produits high-tech.

Qu’en penser ?

Est-ce que le marketing se met au biomimétisme ?

Malgré cela, avoir une version ancienne de tel ou tel logiciel et devoir passer à une version récente se comprend, mais l’achat du nouveau produit technologique laisse toujours une part de culpabilité relative aux déchets engendrés et la sensation d’un écrasement par le système non-durable de la consommation.

Merci Steven

Emissions grandeur nature

Bonjour,

Article + vidéo pour se rendre compte des émissions de CO2.

Impressionnant !

A découvrir sur www.lemonde.fr/planete

Culture

Bonjour,

Je m’arrête un instant pour écrire un article sur deux films que j’ai eu l’occasion de découvrir cette semaine : Soylent Green et Le Lorax.

Le premier est un film issu du livre de l’auteur Harry Harrison paru en 1978.

Ce film raconte la décadence d’un monde, où les femmes font partie des meubles et les végétaux, du passé. Cette science-fiction fait réfléchir, puisqu’en le regardant aujourd’hui, on comprend que l’auteur se projetait en 2020. C’est dans 7 ans ! Et si ça se passe, la mort machiavélique de Soylent Green vaut mieux que l’euthanasie, mais la vie est beaucoup plus tragique que celle que nous vivons actuellement. Sans végétation, pas de vie. Sans intelligence collective, pas de pouvoir.

Un film qui retrace les pensées d’un auteur que je ne connaissais pas. Je compte me procurer certains de ses livres prochainement.
Dommage que ce type d’oeuvres ne soient diffusées que sur des chaînes comme ARTE en plein milieu de la nuit !

Le second film est un film d’animation plus récent qui s’appelle Le Lorax, sorti en Juillet 2012 dans les salles.

Je n’avais pas eu l’occasion de voir ce « dessin animé » nouvelle génération et avoue avoir craqué pour l’histoire, qui fait prendre conscience aux petits comme aux grands qu’il faut savoir regarder par le bon bout de la lorgnette avant de se lancer dans un projet. Et qu’une vie remplie de plastique et d’argent n’est pas une vie.

Très touchant, c’est un film d’animation qui fait réfléchir et qui permet de recentrer le débat non pas sur le bien / le mal, mais le bien-être / l’intérêt économique. DVD à adopter par toute la famille !

 

Et vous, avez-vous vu ces films ? Qu’en pensez-vous ? Avez-vous d’autres oeuvres à nous proposer ?

Au plaisir !

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