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[#auboulot] J’aime les journées comme ca !

Bonjour,

Parfois on se dit qu’on a beau avoir des tas de problèmes quand on entreprend… Les euros ne remplaceront jamais la richesse des rencontres et des chemins partagés avec d’autres humains.

J’ai eu la chance de partager cette journée avec des personnes qui m’enrichissent, qui m’intéressent et avec qui je souhaite échanger sur le long terme, à travers une collaboration ou de simples rencontres.

Je crie aujourd’hui haut et fort ma joie d’être entrepreneure depuis presque 6 ans ! Merci à RurBan Coop de m’héberger. Et merci aussi mon cercle de partenaires que je trouve fort vertueux et extrêmement complet. Merci à Sylvie, Anne, Delphine, Muriel, Arnaud, Evelyne, Coraline, Patrice…

Je remercie également mon entourage professionnel proche ou éloigné, personnel (hé oui, les amis, ça compte !) et familial ;-)

Quand l’associatif ne l’est plus…

Bonjour,

Je passe aujourd’hui un petit coup de gueule avant le weekend, pendant lequel je lâcherai prise, promis !

Comme beaucoup d’entre vous le savent et l’ont remarqué, j’aime m’investir dans des associations, et ce depuis bien longtemps. Pourquoi ce goût pour le bénévolat ? Je pense qu’il remonte à mes racines et l’envie, le besoin d’être utile aux autres, de se sentir vecteur de quelque chose, de faire partie du changement ou du développement que l’on souhaite.

Une association a pour vocation de laisser la parole à ses membres, de les laisser dénoncer les points faibles et de pointer les choses qui fâchent. Mais aussi d’être à l’initiative de nouveaux projets, de proposer des idées, solutions ou alternatives…

Depuis plusieurs années, je fais partie d’une association qui implique ses membres (notamment les plus « anciens ») parce que c’est totalement légitime pour une association ! De nombreux bénévoles ont envie de s’y investir, d’y passer du temps, d’y consacrer de l’énergie et également de faire profiter au collectif de leurs compétences professionnelles (oui, nous sommes dans un cadre professionnel), sans parler de la recommandation de cette association auprès de leurs réseaux respectifs. Or, lorsque des membres dénoncent les problèmes, et deviennent forces de propositions pour aller de l’avant, ils sont considérés comme de piètres « cailloux dans la chaussure » et leurs idées à peine germées sont grillées.

Et lorsque l’on s’aperçoit que les membres, après s’être investis sont peu écoutés, que des décisions sont prises en haut lieu sans aucune concertation sérieuse, on se rend compte que le discours servi en apparence s’éloigne du sens que les membres veulent réellement donner à l’association. Pas de compromis mène à une perte quasi instantanée de la motivation des bénévoles.

D’autant que la qualité des personnes qui composent les associations en général n’est vraiment pas à remettre en cause : tous les membres ont une personnalité, un projet, des valeurs, c’est d’ailleurs ce rassemblement de personnes qui fait leur richesse.

Ma vision du monde associatif vise d’autres valeurs, d’autres fondements et se veut un peu plus puriste et humaine.  Ses statuts, son socle fondateur, sont là pour assurer à chacun un espace de liberté au sein d’un groupement fait d’hommes et de femmes et non pour museler les opinions et se limiter dans ses objectifs. Une association a besoin d’ambitions, définies et chiffrées, non pas par un bureau « tout puissant », mais bien par ses membres, anciens et récents. Sa vie est constituée par un fourmillement continu de bénévoles et de passages à l’acte. Les attentes envers les bénévoles ne peuvent pas être identiques à celles exigées pour un salarié au sein d’une entreprise, cela va de soi. Par contre, la réussite collective doit impérativement être mise en avant, en n’oubliant personne.

Bientôt le weekend, bientôt les vacances, le temps de souffler et de me décider si oui ou non je renouvelle mon adhésion à la rentrée.

Croissance : pour ou contre ?

Bonjour,

Je vous invite à consulter l’interview de Mme Méda dans l’émission « Un Monde d’Idées » de France Info… Passionnant point de vue que je partage !

Prenez 15 minutes de votre temps pour appréhender ce discours intelligent. Nous sommes en pleine transition… A nous de jouer !

Kokopelli se rebelle… Et a raison !

Bonjour,

Je vous transmets quelques explications et points de vue de l’association Kokopelli à propos de la législation européenne sur les semences et le mal qu’elle engendre :

 

La législation européenne sur le commerce des semences :


une réforme écrite par et pour l’industrie semencière

Les variétés anciennes appartenant au domaine public toujours interdites de cité

La Commission Européenne (DG SANCO), le 6 mai dernier, a finalement fait connaître sa dernière proposition de réforme (la 4e version) de la législation sur le commerce des semences. C’est le Collège des Commissaires Européens qui a fini par trancher, dans un contexte difficile où la DG SANCO était soupçonnée de couvrir une situation de conflits d’intérêts (participation de l’ancienne Directrice des Relations Internationales du GNIS, Groupement d’intérêt de l’industrie semencière française, en tant qu’« expert national », à la rédaction de la proposition), et où les DG Agriculture et Environnement, directement concernées par les mesures proposées, s’opposaient à l’adoption du texte en l’état.

Le compromis trouvé n’a rien d’une simplification ou d’un progrès et la proposition législative aggrave le cadre normatif actuel. Il n’y a pas de refonte du système en profondeur : il s’agit du même cadre normatif actuel, assorti d’un chapelet de facilités offertes à l’industrie semencière, selon un modèle proposé par ses représentants.

Coche épaisse Pourquoi une aggravation du cadre normatif actuel ?

La définition de la « commercialisation » des semences s’élargit, pour inclure désormais les transferts de semences non destinées à une utilisation commerciale.

Or, actuellement, la définition de la commercialisation est la suivante :
« Commercialisation: on entend la vente, la détention en vue de la vente, l’offre de vente et toute cession, toute fourniture ou tout transfert, en vue d’une exploitation commerciale, de semences à des tiers, que ce soit contre rémunération ou non.
Ne relèvent pas de la commercialisation les échanges de semences qui ne visent pas une exploitation commerciale de la variété »
La référence à une « exploitation commerciale de la variété », dans la définition actuelle de la législation, permettait d’exclure de son champ d’application les échanges de semences entre jardiniers amateurs, mais aussi la vente de semences à des utilisateurs non professionnels, en général.

Cette exception, d’importance majeure, disparaît dans la proposition de la Commission.

Coche épaisse Des facilités nouvelles pour l’industrie semencière ?

  • Un subtil changement dans la définition de la « variété » et du critère de « distinction », pour faire maintenant référence au « génotype », et non plus seulement aux « taxons botaniques », va permettre à l’industrie semencière de créer des centaines de variétés « nouvelles » absolument identiques entre elles sur le plan botanique, mais « différentes » sur le plan génétique.
  • L’obtention de Droits de Propriété Intellectuelle (COV : Certificat d’Obtention Végétale) sur les variétés va donner un accès direct au Catalogue Officiel, ce qui va finir d’opérer la confusion totale entre régime de Droits de Propriété Intellectuelle et régulation du marché des semences.
  • L’industrie semencière aura la possibilité de réaliser les examens et tests officiels obligatoires elle-même (pour l’enregistrement des variétés au Catalogue et la certification des semences), sans avoir à passer par l’administration, au moyen d’une « habilitation officielle » préalable.

Coche épaisse Les variétés anciennes : toujours dans le collimateur du législateur

Deux pseudo brèches sont ouvertes dans le système :

  • « le matériel pour marchés de niche » (art. 36) : Il s’agit d’une minuscule niche pour la vente de petits sachets de semences (aujourd’hui non concernés par la législation). Aucun enregistrement obligatoire au Catalogue Officiel n’est prévu les concernant, mais cette niche est réservée aux MICRO entreprises (un maximum de 10 salariés et pas plus de 2 millions d’€ de chiffre d’affaires). Et pourquoi pas les PETITES entreprises, ou bien même les MOYENNES entreprises, s’il s’agit de petits sachets ??? Ces dispositions visent à évincer du marché tous les opérateurs qui, en Europe, diffusent une large collection de variétés anciennes, et, qui, par conséquent, ont besoin de plus de personnel. Ex : Kokopelli, association de plus de 20 salariés.
  • « les variétés avec description officiellement reconnue » (art. 57) : leur enregistrement sera obligatoire, mais sans application des critères DHS.

    Problème : les variétés doivent être reproduites dans leur « région d’origine » !!! Mais QUI a les moyens d’avoir des agriculteurs-mainteneurs dans toutes les régions d’origine d’une vaste collection ??? La « rose de Berne » à Berne, la « tomate Marmande » à Marmande, le haricot « tarbais » à Tarbes, la « cornue des Andes » dans les Andes ???

    Ce genre d’obligation, posée dans le but de conserver leurs caractéristiques d’origine aux variétés anciennes, doit être assumé par des conservatoires botaniques publics, pas par des petits opérateurs privés !!! Ces dispositions viseraient-elles en fait à évincer, ici encore, les acteurs dont la collection dépasse la dizaine de variétés ?

    Autre problème : il faut payer des frais d’inscription, alors que les variétés anciennes sont le patrimoine de tous et appartiennent au domaine public ! Voilà de quoi dissuader les opérateurs aux vastes collections.

Ce que nous demandons :

La législation européenne sur le commerce des semences s’applique, depuis 50 ans, à dérouler le tapis rouge aux variétés modernes protégées par des droits de propriété intellectuelle. Elle n’a jamais concerné nos variétés du domaine public. Et quand elle ne les a pas ignorées, elle les a rendues illégales.

Nous demandons donc que les variétés appartenant au domaine public sortent purement et simplement du champ d’application de cette législation. Pour la régulation de certains paramètres essentiels comme la faculté germinative ou la qualité sanitaire, les garanties applicables aux « semences standards » suffisent largement.

Subsidiairement, l’exception créée pour les « marchés de niche » doit être applicable également aux petites et moyennes entreprises, dès lors qu’il s’agit de petites quantités de semences, qui ne seront diffusées, vraisemblablement, qu’aux jardiniers amateurs.

 

Pour en savoir plus sur l’association, commander des graines, un seul site, celui de l’association Kokopelli

L’enfance, période désintéressée par l’argent, motivée par l’action ?

Bonjour,

Voici un nouveau beau discours d’un enfant, Felix Finkbeiner, totalement désintéressé par l’argent et fort concerné par l’environnement.

Il a la solution, comme beaucoup d’entre nous tentons de la mettre en oeuvre au quotidien.

Beaucoup l’entendent, mais qui l’écoute vraiment ?

A découvrir sur www.wedemain.fr.

Cela rappel le discours de Severn Suzuki…

 

Vers un reporting RSE pour tous ?

Bonjour,

Aujourd’hui, une news parue dans www.seine-et-marne-invest.com et qui met en avant les observations du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) concernant les rapports de Responsabilité Sociale/Sociétale des Entreprises.

Les entreprises cotées en bourse sont déjà soumises à certaines obligations… Mais pourquoi pas créer une perspective d’amélioration à une échelle plus petite, touchant les TPE et PME qui maillent le tissu économique national et créent la richesse, avec des valeurs fortes souvent basées sur l’humain et le savoir-faire.

La RSE en Afrique

Bonjour,

Je reçois fréquemment la newsletter de l’institut Afrique RSE que je vous conseille de lire : les Européens ne sont pas les seuls à vouloir aller vers un autre mode de gouvernance…

Bonne lecture.

 

ESSEC, Douala : Kilimandjaro University RSE. A nos méninges !


C’est sur le campus de l’Université de Douala au Cameroun que l’Ecole Supérieure des Sciences Economiques et Commerciales (E.S.S.E.C.) et l’Institut Afrique RSE organisent du 16 au 20 septembre la première session du Kilimandjaro University RSE : Université Africaine de la Responsabilité Sociétale des Entreprises et de l’économie durable.

L’objectif de cette formation certifiante est de permettre aux cadres et dirigeants des administrations, entreprises, collectivités territoriales ainsi que les responsables des syndicats, ONG et associations de disposer des outils et de la méthodologie pour concevoir, mettre en œuvre, évaluer et assurer le suivi des projets de RSE.

Saisissons l’opportunité du Kilimandjaro University pour apporter un regard sur la RSE avec les lunettes africaines à partir des questions centrales de la norme ISO 26000 qui serviront d’ailleurs de boussoles pour voir clair sur la Responsabilité Sociétale dans les pays africains.

L’enjeu principal pour les organisations africaines est celui de la gouvernance.

Le malgache José Rakotomanjaka a mis les bonnes lunettes pour apporter un éclairage pertinent sur cette problématique. Il décrypte à juste titre « qu’en premier lieu les modèles de gouvernance laissent encore une place importante aux lois locales et à l’appartenance communautaire. Les places boursières sont encore peu nombreuses et le volume des transactions anonymes est faible. Les organisations appartiennent alors à une famille ou un groupe de familles.

 

La redevabilité à l’égard des mandants se limite ainsi à rendre compte à un patriarche, chef de famille plutôt qu’à des membres diversifiés d’une assemblée générale, même si le statut de l’entreprise est de type « de capitaux » mais pas affectio societatis.

 

Les rapports seront alors déterminés par des relations affectives plutôt que par des relations objectives de mandants à mandataires. Même les relations avec les autorités sont influencées par les relations familiales et communautaires qui peuvent biaiser la redevabilité vis-à-vis de l’État.

 

En second lieu, pour la transparence, les organisations agissant en Afrique ont tendance à garder secrètes les informations. La principale raison évoquée est l’inefficacité d’un système judiciaire toujours indépendant en cas de violation de ses droits. Les abus de rétention d’information sont souvent constatés, mais en contrepartie la transparence expose à des harcèlements injustifiés. »

Prenons une deuxième question centrale afin d’y porter un regard africain. Les bonnes pratiques des affaires par exemple. D’après l’ISO, elles concernent la conduite éthique des transactions entre une organisation et d’autres organisations et des personnes. Elles englobent les relations entre les organisations et des organismes publics ainsi qu’entre les organisations et leurs partenaires, fournisseurs, sous-traitants, concurrents et les associations dont elles sont membres.

La lecture des actions et attentes proposées par l’ISO sur les cinq domaines d’actions (lutte contre la corruption, engagement politique responsable, concurrence loyale, promotion de la responsabilité sociétale dans la chaîne de valeur et le respect des droits de propriété) présentent l’avantage de donner les lignes directives générales pour la conduite d’une démarche RSE au regard de cette question centrale.

Mais en mettant les lunettes africaines, un des enjeux majeurs des bonnes pratiques des affaires sur le continent et qui n’apparaît pour l’instant sur aucun radar RSE des organisations internationales est le délai de paiement.

Concrètement, les grandes entreprises et les multinationales profitent de leur position de donneurs d’ordre et de domination économique pour assurer leur financement sur le dos des PME en allongeant indéfiniment les délais de paiement.

Lors de l’une de nos interventions le mois dernier en Afrique, un cadre d’une filiale de multinationale a indiqué que des factures de fournisseurs pour l’année … 2012 n’étaient pas encore réglées. Combien de grands groupes africains et de sociétés transnationales sont concernés par de telles pratiques ?

Avec ces délais de paiement excessivement longs, pratique répandue en Afrique y compris chez les donneurs d’ordre publics, nombreux sont les prestataires qui finissent par déposer le bilan et mettre la clé sous le paillasson. Plus frustrant encore est le manque de possibilité de recours pour ces fournisseurs et sous-traitants.

Les multinationales et grandes entreprises pourront toujours valoriser leur supposée citoyenneté et ancrage territorial grâce à la création d’emplois directs ou indirects mais combien d’emplois le territoire va-t-il perdre à cause de la disparition précoce des TPE et PME aux carnets de commande remplis mais qui après avoir réalisées des prestations attendent des paiements qui arriveront trop tard ?

A l’heure où le local content monte en puissance en Afrique et se positionne comme une question centrale de la RSE, le challenge sera d’avoir une approche holistique et transversale pour faire de la RSE, un outil de transformation structurelle de l’Afrique.

La réflexion devra portée sur l’ensemble des questions centrales proposées par les organisations internationales qui seront probablement enrichies par d’autres spécifiques au contexte africain selon nos cultures et valeurs.

Le challenge est d’autant plus important qu’il faudra gérer le long terme à très court terme sur un continent au cœur de toutes les convoitises mais confronté à une explosion urbaine, démographique et des inégalités pour une population en quête d’équité, de justice sociale et de partage de la valeur.

Il y a donc une urgence pour l’émergence d’un réseau de cadres et dirigeants africains visionnaires capables d’impulser ce mouvement vers une économie durable.

Tel est l’objectif du Kilimandjaro University.

Pour un passage efficace à l’action osons la réflexion audacieuse sans crainte des expérimentations indispensables pour le passage du message.

L’Afrique est très riche en matières premières mais la matière première c’est désormais la substance grise. En matière de RSE, l’Afrique n’est pas dernière mais peut devenir première.

A nos méninges !

Thierry Téné, Directeur de l’Institut Afrique RSE

Michel Tarrier : je lutte, tu luttes, il lutte…

Bonjour,

Pour terminer la semaine dans un état d’esprit révolté et vous donner envie d’agir, je vous propose de lire l’excellent article paru sur www.larevuedesressources.org traitant du livre de Michel Tarrier « L’agroterrorisme dans nos assiettes ».

L’économie verte vs. le travail…

Bonjour,

Un article fort intéressant est paru dans Novethic ces derniers jours…

Quelques questions pointent à la lecture de cet article.

Premièrement : l’économie verte est-elle accessible à tous sur cette planète ? Cela serait très désirable afin que les richesses soient mieux réparties, sans doute, et que les emplois verts voient le jour même dans les parties les plus défavorisées de notre monde… Est-ce que l’OIT n’a pas en ce sens un énorme travail à fournir afin de favoriser les initiatives locales exemplaires et diffuser des informations à l’international ?

Deuxièmement : est-ce que l’Homme parviendrait à implémenter des réglementations sur un thème (l’économie verte) sans négliger un pan fondamental de ce dernier (le travail/le travailleur) ?

Troisièmement : est-ce une démarche de la part des lobbies pour attaquer la croissance verte ? Est-ce simplement la période d’incertitudes dans laquelle nous nous trouvons qui nous incite à revoir les exigences à la hausse pour avoir une qualité de prestations « au top » ? Est-ce que l’on a jusque là vraiment négligé les risques encourus par les travailleurs (même avant la « croissance verte ») ? Est-ce que la productivité et le profit passeront toujours devant la santé ? Est-ce que des réglementations de ce type seront adaptées à des pays où les pratiques sont assez méprisantes du droit du travail en général ?

7 milliards…

Bonjour,

Aujourd’hui, je tenais à reprendre le fait marquant de ce début novembre : nous sommes 7 milliards sur Terre…

7 milliards dont une infirme partie profite des richesses et dont le reste demande à pouvoir en faire autant.

7 milliards à nourrir, 7 milliards de consommateurs (potentiels), 7 milliards à loger, 7 milliards à produire des déchets, 7 milliards de voyageurs, 7 milliard et autant d’identités, d’individualités, de personnalités, 7 milliards et des cultures, des langues, des traditions, des religions, des horizons tous différents, 7 milliards et un avenir brumeux…

A ce sujet, je tiens à mettre en avant l’interview de Yann-Arthus Bertrand par Yves Calvi sur RTL.

Et pour les anglophones, un excellent reportage audio de la BBC dans l’émission « one planet ».

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