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[#auboulot] Travailler chez soi
Bonjour,
On me dit souvent « mais comment tu fais pour bosser chez toi ? Moi, je n’y arriverai pas »
En fait, travailler chez soi, c’est très agréable. Il suffit d’un espace dédié, et d’un peu de discipline. Au bout de 5 ans et demi, on s’habitue, et cela sans se couper du monde (attention à l’isolement du créateur d’entreprise ;)) ! Réseauter dans des petits-déjeuners d’entrepreneurs ou aller sur des salons sont de bons prétextes pour mettre le nez dehors – malgré la pluie.
Déjà, il faut se lever le matin. Cette action est facilité si votre conjoint se lève tôt.
Puis, grâce à des outils comme KanBanFlow (que l’une de mes partenaires Sylvie – Sylbohec m’a recommandé), j’avance plus vite, parviens à me timer, à savoir si je suis efficace ou pas. Faire des « to do lists » est également un exercice qui facilite le quotidien. S’entourer de partenaires fiables et aidants (dédicace à Anne, Muriel et Delphine) et d’ouvrages de référence permet d’ouvrir l’esprit.
L’idée est de se créer les conditions idéales pour travailler. Le bureau en mode « prêt à agir » comme dit Laurence de ToutEnPlace, écouter de la musique classique ou FIP m’aide aussi dans ma créativité. Allumer un petit encens et une bougie me stimule aussi. Parfois, Fidélio vient me rendre visite pour un câlin…
Certes, il peut arriver de gérer les animaux domestiques ou le linge dans une journée en home office, mais sur des plages horaires bien spécifiques (pendant le repas). Après tout, le créateur est libre de gérer son temps comme bon lui semble. La discipline vient toute seule puisque sans un minimum de rigueur et d’application (et de perfectionnement dans cette application), on ne mange pas à la fin du mois… Cela motive beaucoup plus qu’on ne le pense (au passage, merci Maslow pour ta pyramide des besoins ;-)).
Sur ces bons mots, je vais me faire un bon thé et poursuivre mon travail.
Bonne journée à vous !
un autre management est-il possible ?
Bonjour,
J’ai trouvé l’exemple de l’entreprise Lippi fort intéressant et pertinent. Ne serait-ce pas là un exemple à reproduire dans les entreprises de petite et moyenne taille ?
Tout est question d’équilibre, mais les moyens mis en oeuvre par la direction semblent pertinent.
Un petit regret : pas d’interview ou de retour d’expérience des salariés dans l’article proposé par lentreprise.lexpress.fr
Et vous, pensez-vous qu’un management très rigide peut permettre à un projet d’être mené à bien ? Que pensez-vous de ces formes « d’alter-management » ? Avez-vous une démarche « RSE » qui s’inspire de ces pratiques ?
PS, je me permets d’ajouter cet article oublié : www.latribune.fr
Un label RSE ?
Bonjour,
Ce matin, une petite info publiée avant les fêtes sur le site cdurable.info au sujet de LUCIE, le label RSE.
Des questions pointent à l’horizon : les labels sont de plus en plus nombreux (si, si, je vous assure, faites vos courses, vous verrez !). Ils touchent aussi bien les produits (par exemple Max Havelaar pour les produits issus du commerce équitable) que les services (par exemple Prestadd pour l’événementiel responsable). Maintenant, un label existe pour indiquer que la Norme ISO26000 (non certifiante) est adoptée dans telle ou telle structure. Alors dans quel but créer ces labels ? Pour se dispenser d’agir ? Pour être reconnu sur le marché ? Pour se reconnaitre entre acteurs de référence ? Pour embrouiller le client ? Pour assurer un suivi des évolutions selon des standards rigoureux ?
Si vous avez des remarques, le débat est ouvert !