Archives du blog

[#DD] #COP21 : l’échéance approche !

Bonjour,

Après le rush de la rentrée, chacun retrouve ses petites habitudes… Et le pays est en plein bouillonnement à l’aube de la #COP21.

Deux articles parus récemment traitent de ce sujet :

  • www.notre-planete.info qui s’interroge sur l’exemplarité Française
  • www.novethic.fr qui relate que le changement climatique est bien présent et qu’il faut impérativement passer à l’action.

Croissance : pour ou contre ?

Bonjour,

Je vous invite à consulter l’interview de Mme Méda dans l’émission « Un Monde d’Idées » de France Info… Passionnant point de vue que je partage !

Prenez 15 minutes de votre temps pour appréhender ce discours intelligent. Nous sommes en pleine transition… A nous de jouer !

Déchets électroniques au Nord = urgence écologique et sociale au Sud

Bonjour,

Aujourd’hui, une analyse au peigne fin de la fin de vie de nos « D3E » menée par www.bastamag.net

Quid du recyclage des métaux qui viennent de terres rares chinoises qui elles aussi ont de graves répercussions sur les conditions de travail et l’environnement.

On est en droit de se demander si la lutte contre l’obsolescence programmée n’aurait pas, quant à elle , comme externalité positive de limiter cette catastrophe.

Bon recyclage et bonne semaine !

Du coton indien non OGM ?

Bonjour,

Mais, que se passe-t-il dans les pays en développement ?

C’est en ce moment un ras-de-marée pour Monsanto, le géant de l’agro-chimie qui modifie la nature sans en connaître les conséquences.

« On » – pays du Nord – a longtemps pensé que les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM) étaient LA solution pour les pays dits du Sud.

Pourquoi pensait-on ça ? Car l’OGM promet des récoltes sans souci puisque les plantes résistent à toute invasion ! L’important est de passer et repasser des couches de produits pour faire d’une terre fertile une terre morte.

Donc Monsanto a pris un grand élan et les paysans du monde entier sont passés en mono-culture. Au final, les paysans se retrouvent dans un état de détresse supérieur à celui vécu précédemment, puisqu’ils sont dans l’impossibilité de replanter ce qu’ils ont pris le temps de cultiver… Et ne peuvent plus manger puisqu’ils ont supprimé une parcelle pour une culture vivrière (on leur avait promis que l’export, ça rapportait)

Suite à cela… Le Pérou et les agriculteurs bio des Etats-Unis font partie de ceux qui défendent une cause, et sont maintenant rejoints selon www.france24.com/fr par l’Inde qui estime que le taux de suicide de ses agriculteurs est purement et simplement lié à l’utilisation dans 90% des cultures de cotons de semences modifiées…

Et vous, qu’en pensez-vous ?

(Merci Steven)

La RSE en Afrique

Bonjour,

Je reçois fréquemment la newsletter de l’institut Afrique RSE que je vous conseille de lire : les Européens ne sont pas les seuls à vouloir aller vers un autre mode de gouvernance…

Bonne lecture.

 

ESSEC, Douala : Kilimandjaro University RSE. A nos méninges !


C’est sur le campus de l’Université de Douala au Cameroun que l’Ecole Supérieure des Sciences Economiques et Commerciales (E.S.S.E.C.) et l’Institut Afrique RSE organisent du 16 au 20 septembre la première session du Kilimandjaro University RSE : Université Africaine de la Responsabilité Sociétale des Entreprises et de l’économie durable.

L’objectif de cette formation certifiante est de permettre aux cadres et dirigeants des administrations, entreprises, collectivités territoriales ainsi que les responsables des syndicats, ONG et associations de disposer des outils et de la méthodologie pour concevoir, mettre en œuvre, évaluer et assurer le suivi des projets de RSE.

Saisissons l’opportunité du Kilimandjaro University pour apporter un regard sur la RSE avec les lunettes africaines à partir des questions centrales de la norme ISO 26000 qui serviront d’ailleurs de boussoles pour voir clair sur la Responsabilité Sociétale dans les pays africains.

L’enjeu principal pour les organisations africaines est celui de la gouvernance.

Le malgache José Rakotomanjaka a mis les bonnes lunettes pour apporter un éclairage pertinent sur cette problématique. Il décrypte à juste titre « qu’en premier lieu les modèles de gouvernance laissent encore une place importante aux lois locales et à l’appartenance communautaire. Les places boursières sont encore peu nombreuses et le volume des transactions anonymes est faible. Les organisations appartiennent alors à une famille ou un groupe de familles.

 

La redevabilité à l’égard des mandants se limite ainsi à rendre compte à un patriarche, chef de famille plutôt qu’à des membres diversifiés d’une assemblée générale, même si le statut de l’entreprise est de type « de capitaux » mais pas affectio societatis.

 

Les rapports seront alors déterminés par des relations affectives plutôt que par des relations objectives de mandants à mandataires. Même les relations avec les autorités sont influencées par les relations familiales et communautaires qui peuvent biaiser la redevabilité vis-à-vis de l’État.

 

En second lieu, pour la transparence, les organisations agissant en Afrique ont tendance à garder secrètes les informations. La principale raison évoquée est l’inefficacité d’un système judiciaire toujours indépendant en cas de violation de ses droits. Les abus de rétention d’information sont souvent constatés, mais en contrepartie la transparence expose à des harcèlements injustifiés. »

Prenons une deuxième question centrale afin d’y porter un regard africain. Les bonnes pratiques des affaires par exemple. D’après l’ISO, elles concernent la conduite éthique des transactions entre une organisation et d’autres organisations et des personnes. Elles englobent les relations entre les organisations et des organismes publics ainsi qu’entre les organisations et leurs partenaires, fournisseurs, sous-traitants, concurrents et les associations dont elles sont membres.

La lecture des actions et attentes proposées par l’ISO sur les cinq domaines d’actions (lutte contre la corruption, engagement politique responsable, concurrence loyale, promotion de la responsabilité sociétale dans la chaîne de valeur et le respect des droits de propriété) présentent l’avantage de donner les lignes directives générales pour la conduite d’une démarche RSE au regard de cette question centrale.

Mais en mettant les lunettes africaines, un des enjeux majeurs des bonnes pratiques des affaires sur le continent et qui n’apparaît pour l’instant sur aucun radar RSE des organisations internationales est le délai de paiement.

Concrètement, les grandes entreprises et les multinationales profitent de leur position de donneurs d’ordre et de domination économique pour assurer leur financement sur le dos des PME en allongeant indéfiniment les délais de paiement.

Lors de l’une de nos interventions le mois dernier en Afrique, un cadre d’une filiale de multinationale a indiqué que des factures de fournisseurs pour l’année … 2012 n’étaient pas encore réglées. Combien de grands groupes africains et de sociétés transnationales sont concernés par de telles pratiques ?

Avec ces délais de paiement excessivement longs, pratique répandue en Afrique y compris chez les donneurs d’ordre publics, nombreux sont les prestataires qui finissent par déposer le bilan et mettre la clé sous le paillasson. Plus frustrant encore est le manque de possibilité de recours pour ces fournisseurs et sous-traitants.

Les multinationales et grandes entreprises pourront toujours valoriser leur supposée citoyenneté et ancrage territorial grâce à la création d’emplois directs ou indirects mais combien d’emplois le territoire va-t-il perdre à cause de la disparition précoce des TPE et PME aux carnets de commande remplis mais qui après avoir réalisées des prestations attendent des paiements qui arriveront trop tard ?

A l’heure où le local content monte en puissance en Afrique et se positionne comme une question centrale de la RSE, le challenge sera d’avoir une approche holistique et transversale pour faire de la RSE, un outil de transformation structurelle de l’Afrique.

La réflexion devra portée sur l’ensemble des questions centrales proposées par les organisations internationales qui seront probablement enrichies par d’autres spécifiques au contexte africain selon nos cultures et valeurs.

Le challenge est d’autant plus important qu’il faudra gérer le long terme à très court terme sur un continent au cœur de toutes les convoitises mais confronté à une explosion urbaine, démographique et des inégalités pour une population en quête d’équité, de justice sociale et de partage de la valeur.

Il y a donc une urgence pour l’émergence d’un réseau de cadres et dirigeants africains visionnaires capables d’impulser ce mouvement vers une économie durable.

Tel est l’objectif du Kilimandjaro University.

Pour un passage efficace à l’action osons la réflexion audacieuse sans crainte des expérimentations indispensables pour le passage du message.

L’Afrique est très riche en matières premières mais la matière première c’est désormais la substance grise. En matière de RSE, l’Afrique n’est pas dernière mais peut devenir première.

A nos méninges !

Thierry Téné, Directeur de l’Institut Afrique RSE

A Panamà… le surpoids est là

Bonjour,

Aujourd’hui, je vous propose la lecture d’un article paru sur www.greeenetvert.fr sur le surpoids versus les catégories sociales.

Je n’aime pas mettre les gens dans les cases, comme vous le savez… Mais là, c’est assez criant que les plus démunis se retrouvent à pâtir du mal de l’un des maux du  XXIème siècle.

Les risques de la pollution sur la santé

Bonjour,

Un article paru sur Lemonde.fr met en garde contre les dangers de la pollution, estimés aussi graves que le paludisme.

 

Petit producteur d’ici ou d’ailleurs

Bonjour,

Un article paru sur le site du Nouvel Observateur traite des petits producteurs et de leurs difficultés à survivre.

On notera que le modèle coopératif est mis en avant par la FAO.

Le lobby OGM est omniprésent

Bonjour,

Ce lundi, pour revenir sur l’aspect agriculture, agrobusiness etc… Je vous propose un florilège qui fait vraiment réfléchir sur les choix du consom’acteur que nous sommes. Limiter ses consommations c’est bien, penser circuits courts, c’est mieux, agir ensemble, c’est le top !

Notre-planete.info qui dévoile que l’EFSA n’accorde pas sa confiance à l’étude de Séralini

– La réplique de Corinne Lepage à ce sujet sur « Le Plus » du Nouvel Obs

Le coin bio qui souligne les propos du Président de Nestlé, pro OGM

20minutes qui parle du film de Jean-Paul Jaud à voir dès le 26 Octobre

– l’article de l’association Kokopelli traitant du conflit science contre démocratie

– Le dossier de campagne anti-OGM de Greenpeace

– et pour ceux qui n’ont pas lu la publication de vendredi autour de La revue des ressources, elle était intéressante également !

Bonnes lectures et bons questionnements !

Comment subvenir aux besoins de tous ?

Bonjour,

Je suis récemment tombée sur un article qui a attiré toute mon attention. En effet, je suis profondément touchée par les inégalités criantes Nord/Nord mais surtout Nord/Sud…

Quelqu’un aurait-il la solution ? Plus d’informations sur le blog Youphil Innover contre la faim

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