[#société] Classe moyenne

Bonjour,

Ce weekend, je suis tombée sur le replay des trois documentaires traitant de la classe moyenne en France. Quatre familles sont suivies dans leur quotidien par Frédéric Brunnquell dans Des vies sur le fil. Prenez le temps de visionner cette diffusion d’ARTE :

Episode 1/3 – les rêves déçus

Episode 2/3 – sans répit

Episode 3/3 – la vie malgré tout

Touchant, vrai, terrible… Le système grignote la « petite » classe moyenne qui soit se paupérise, soit s’enrichit, ce qui creuse d’autant plus le gap entre les deux mondes. De la ceinture serrée à chaque fin de mois pour cause de chômage persistant, du manque de ressources, des aides sociales attribuées : le sujet est vaste et bien traité…

Pollution « made in China »

Bonjour,

Aujourd’hui, les smogs envahissent la Chine… Qui survit dans un nuage de microparticules de pollution.

C’est à lire sur www.liberation.fr

Toutes les grandes villes sont-elles amenées à connaître ces situations ? Et si oui, les autorités sont-elles prêtes à agir ou resteront-elles les bras croisés ?

(merci Sylvie)

Haïti, ou un silence médiatique malvenu

Bonjour,

Voici quelques nouvelles d’Haïti… La situation post-séisme est loin d’y être réglée…

C’est à lire sur www.courrierinternational.com

Sécheresse dans la Corne de l’Afrique…

C’est tout une zone, toute une région, tout un pays touché par la sécheresse et la famine, entrainant malnutrition, déshydratation,, fuites des populations locales et malheureusement souvent la mort… Les humains, le bétail, la végétation : peu de choses parviennent à survivre dans cet univers hostile.

L’aide humanitaire n’est pas de trop. Mais la mobilisation internationale manque. Les grands donneurs qu’étaient les pays occidentaux, eux-mêmes en crise, ont du mal à ne pas couper les robinets aux vues des sommes folles à distribuer dans leur propre système capitaliste en train de tomber en lambeaux (mais sans trouver de solutions concrètes, sans essayer de lutter contre des préjugés économiques et surtout, surtout, sans jamais évoquer les situations alternatives et durables, beaucoup plus viables mais trop loin du monde de la Bourse si chère à nos coeurs (mais qui n’hésite pas à spéculer sur le prix des denrées alimentaires que les populations d’Afrique ne peuvent plus se procurer))…

Pour en savoir plus, un article complet vous est proposé sur notre-planete.info

Mais QUID de ces camps dans les années à venir ? Est-ce que les « déserteurs forcés » auront le courage de retourner sur leurs terres desséchées ? Si plusieurs peuples se retrouvent au même endroit, dans des conditions peu décentes, n’y a-t-il pas des risques de frictions et à terme de conflits locaux ? Jusqu’à quand les ONG pourront subvenir aux besoins de centaines de milliers de personnes ? Font-elles toutes excellemment bien leur travail ?